« Rémouleur, rémouleur ! Repasse couteaux! Repasse ciseaux ! »

Voilà le cri du rémouleur que l’on pouvait entendre. Les femmes s’empressaient. On amenait le couteau de cuisine qui ne coupait plus. le rasoir du mari qui ne rasait plus, une paire de ciseaux rouillée… tous ces ustensiles tranchants qui nécessitaient d’être affutés afin de pouvoir être à nouveau fonctionnels. Pendant que le rémouleur s’affairait à redonner une nouvelle vitalité à tous ces objets, les femmes comméraient et les petits enfants venaient assister au spectacle où les étincelles virevoltaient au milieu des bruits stridents de la meule limant l’acier. Le rémouleur faisait alors partie de ce paysage des marchands ambulants typiques.

L’artisanat du couteau et des objets coupants s’est surtout développé à partir du Moyen Âge. À chaque contrée, sa marque de fabrique comme Thiers, Haut lieu du couteau Laguiole qui deviendra au XVIlle siècle la Capitale des coutelleries françaises.

Pendant plusieurs siècles, les couteaux et autres objets tranchants étaient des ustensiles rares et précieux auxquels on accordait de l’importance, d’où la nécessité de prolonger leur tranchant en les faisant affûter. La profession était contrôlée. Ainsi, il fallait être “forcetier”, c’est-à-dire forgeron ou coutelier (donc maîtriser les techniques de fabrication des couteaux) pour pratiquer l’affûtage. Afin d’apporter de la longévité à ces pièces uniques faites à la main, il convenait de les amener chez le rémouleur. Celui-ci affûtait de manière très rapide l’outil en travaillant d’une façon minutieuse l’angle de coupe. Il fallait être efficace et précis afin de ne pas tordre la lame.

L’idée de création d’un Atelier Itinérant de Remoulage Affûtage

Venir à vous pour redonner du tranchant à vos lames.

Je me déplace avec ma CAMIONNETTE ATELIER et met à votre service mon expérience.

Couteaux, mandolines, ciseaux, lames de tondeuse, lames de scie… Tout y passe !

Une concentration de mon métier & de l’Estafette

L’ESTAFFÛTEUR, imaginé avec la contraction du modèle de ma camionnette-atelier Renault Estafette de 1973 et de mon activité d’Affûteur.

Me déplacer dans tout le Département des Alpes-Maritimes (06), le Canton de Fayence (83) & la Principauté de Monaco. au plus près de Vous, pour Vous faire gagner du Temps, et ce, afin de Vous Proposer mes services et récupérer vos tranchants à affûter, pour leur rendre leur Superbe. 

L’ESTAFFÛTEUR est une marque déposée à l’Institut National de la Propriété Industrielle INPI.

Cet Atelier itinérant est équipé de machines professionnelles dernier cri et répondront à vos attentes.

Une innovation vient les compléter avec l’installation de panneaux solaires pour être en autonomie énergétique complète pour les fonctionnement des machines.

Ici quand un outil ne coupe plus, nous ne le jetons pas ! Il est réaffûté par un artisan professionnel et compétent. C’est ma démarche de développement durable !

Aujourd’hui le Maitre-mot est “Réduire l’empreinte écologique”. Nous avons trop de déchets engendrés par notre fonctionnement de « Société de Consommation ».

On ne peut plus tout gaspiller en jetant les Matières Premières !!! Chaque Professionnel ou Particulier a du matériel tranchant dont il ne se sert plus car il ne coupe plus.

Combien de fois ai-je pesté lorsque je cuisine ou je mange entre amis et que leurs couteaux ne coupent plus !!! Les couteaux avec bord dentelé sont jetés bien trop rapidement !

Un couteau qui coupe n’est pas un couteau qu’on regarde. Pour celui qui s’en sert, c’est un gain de temps indéniable, gage de rapidité et d’efficacité. Un couteau qui coupe, donne avant tout de la joie.

Pourquoi ne pas les affuter, une, deux, dix, vingt fois…leur redonner leur utilité première des années ? Avec cet Atelier Mobile, je me donne la mission d’entretenir et de redonner plusieurs vies aux outils tranchants existants. Le confort de travail et le plaisir de couper après un bon affûtage est indispensable.

Je veux transmettre cet aspect d’Eco-Responsabilité aux plus jeunes en leur faisant connaitre ce métier.

On se retrouve sur la route...”